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"2019 est une année importante pour les branches. Nous atteindrons l’objectif de 250 branches au cours de l’année contre 450 aujourd’hui", affirme Muriel Pénicaud, lundi 14 janvier 2019. "Nous verrons ensemble comment aller plus loin", ajoute la ministre du Travail. Lors de ses vœux, elle décrit l’année qui commence comme une période d’amplification des réformes menées en 2018. Elle revient sur les grandes lignes de la politique menée depuis 18 mois par l'exécutif. Ainsi que sur l’importance "d’apporter des réponses" à ceux qui ont "le sentiment de ne plus y arriver".
Lucie Lourdelle, ancienne responsable du service juridique de la CFDT, est officiellement nommée conseillère en charge des relations du travail au sein du cabinet de Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, par arrêté du 27 décembre 2018. Elle reprend les dossiers portés jusqu'alors par Claire Scotton, qui a rejoint le groupe Orange (lire sur AEF info). En revanche, Lucie Lourdelle ne reprend pas la fonction de directrice adjointe de cabinet (lire sur AEF info).
La CFDT, la CGT, FO, la CFTC et l’Unsa adressent, le 6 décembre 2018, un courrier à la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, pour lui demander de soutenir le projet de directive européenne sur l’équilibre vie professionnelle-vie privée des parents et des aidants familiaux. Ce courrier est envoyé alors que les ministres du Travail européens se réunissent à Bruxelles pour le conseil Epsco, dont l’ordre du jour porte notamment sur cette directive. Celle-ci "contient de nombreuses avancées et notamment une meilleure rémunération du congé parental", mais elle est "bloquée par les chefs d’États et de gouvernement et notamment la France et l’Allemagne". Or pour qu’elle soit adoptée, il faut que les chefs d’États arrivent à un accord avant la fin décembre et que le parlement le ratifie avant février 2019. Par ailleurs, la CES (Confédération européenne des syndicats) lance une pétition en ligne.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.