Continuer sans accepter

Bonjour et bienvenue sur le site d’AEF info
Vos préférences en matière de cookies

En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.

Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :

  • Mesurer et améliorer la performance du site
  • Adapter la publicité du site à vos centres d'intérêt
  • Partager sur les réseaux sociaux
En savoir plus sur notre politique de protection des données personnelles

Vous pourrez retirer votre consentement à tout moment dans votre espace « Gérer mes cookies ».
Home| Social / RH| Ressources humaines| Dépêche n°598991

Happychic : le détail du PSE signé par la CFDT et FO, après une négociation marquée par une grève de la faim

Le groupe de prêt-à-porter Happychic, qui emploie 3 200 salariés en France dans les enseignes Jules, Brice et Bizzbee, va supprimer 460 emplois pour motif économique. La CFDT et FO ont signé le 17 décembre 2018 un accord de PSE majoritaire. "La négociation a permis d’obtenir des montants plus que corrects pour accompagner les salariés", estime Patrick Digon, délégué CFDT. De son côté, la CGT a refusé de signer l’accord, le jugeant insuffisant. "Sur les 460 emplois concernés, près de 300 personnes ont déjà reçu une proposition de reclassement interne", indique une porte-parole de l’entreprise.

Cette dépêche est réservée aux abonnés
Il vous reste 95 % de cette dépêche à découvrir.

  • Retrouver l’intégralité de cette dépêche et tous les contenus de la même thématique
  • Toute l’actualité stratégique décryptée par nos journalistes experts
  • Information fiable, neutre et réactive
  • Réception par email personnalisable
TESTER GRATUITEMENT PENDANT 1 MOIS
Test gratuit et sans engagement
Déjà abonné(e) ? Je me connecte
  • Thématiques
  • Coordonnées
  • Création du compte

Thématiques

Vous demandez à tester la ou les thématiques suivantes*

sur5 thématiques maximum

1 choix minimum obligatoire
  • Social / RH
  • 👁 voir plus
    ✖ voir moins

Fréquence de réception des emails*

Un choix minimum et plusieurs sélections possibles. Vous pourrez modifier ce paramétrage une fois votre compte créé

Un choix minimum obligatoire

* Champs obligatoires

Coordonnées

Renseignez vos coordonnées*

Veuillez remplir tous les champs
Votre numéro de téléphone n'est pas valide

* Champs obligatoires

Création de compte

Tous les champs sont obligatoires
Votre adresse e-mail n'est pas valide
Seulement les adresses e-mails professionnelles sont acceptées

Cette adresse vous servira de login pour vous connecter à votre compte AEF info

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont au moins 1 chiffre
Ces mots de passe ne correspondent pas. Veuillez réessayer

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont 1 chiffre

En validant votre inscription, vous confirmez avoir lu et vous acceptez nos Conditions d’utilisation, la Licence utilisateur et notre Politique de confidentialité

* Champs obligatoires

Valider

Merci !

Nous vous remercions pour cette demande de test.

Votre demande a été enregistrée avec l’adresse mail :

Nous allons rapidement revenir vers vous pour vous prévenir de l’activation de votre nouvel accès.

L’équipe AEF info


Une erreur est survenue !

Une erreur est survenue lors de l'envoi du formulaire. Toutes nos excuses. Si le problème persiste, vous pouvez nous contacter par téléphone ou par email :
 service.clients@aefinfo.fr  01 83 97 46 50 Se connecter

à lire aussi
PSE de Pimkie : la rupture d’égalité entre salariés titulaires ou non d’une clause de mobilité est justifiée (TA)

La différence de traitement prévue par le PSE de Pimkie entre des salariés dont le poste est supprimé, selon qu’ils ont ou non une clause de mobilité, est justifiée par la différence de leurs situations. C’est ce que juge le 16 juillet 2018 le tribunal administratif de Lille. Des syndicats invoquaient le fait que les salariés ayant une clause de mobilité seraient, en cas de licenciement faisant suite à un refus de mutation, privés des mesures d’accompagnement réservés aux salariés qui, ne pouvant être réaffectés, seraient licenciés pour motif économique.

Lire la suiteLire la suite

Ressources humaines

Aperçu de la dépêche Aperçu
Restructurations : FO et la CGT dénoncent les méthodes du cabinet Prosphères à travers l’exemple de Pimkie
Lire la suite

Ressources humaines

Aperçu de la dépêche Aperçu
Pimkie : faute d’accord majoritaire sur le plan de départs volontaires, la direction devra procéder par voie unilatérale
Lire la suite

Ressources humaines

Aperçu de la dépêche Aperçu
Pimkie : un projet d'accord sur le plan de départs volontaires ouvert à la signature des syndicats jusqu'au 5 mars 2018
Lire la suite

Ressources humaines

Aperçu de la dépêche Aperçu
Prêt à porter : la marque Bizzbee propose à ses jeunes vendeurs de se former via un outil entièrement numérique
Lire la suite
« L'entreprise est souvent désarmée face au burn-out » (Frédéric Taquet, DRH de Happychic)

« Le burn-out n'est pas une maladie de l'individu : il trouve son origine dans un problème d'organisation, de management, voire de société, quand le salarié est confronté à un environnement qui l'étouffe progressivement, à une perte de sens de son activité », explique Thierry Hennion, médecin du travail, lors d'une conférence organisée le 18 février 2014 à Lille sur les situations d'épuisement professionnel. « Le problème peut survenir quand les limites entre le travail et la vie personnelle sont rompues : par exemple, lorsque des cadres s'envoient des mails le dimanche soir pour s'avancer pour le lendemain, ils ne bénéficient plus de temps de récupération, qui sont pourtant indispensables. »

Lire la suiteLire la suite