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Lors d’un déplacement dans un centre des finances publiques de Lyon consacré à l’entrée en vigueur du prélèvement à la source, ce 8 janvier 2019, le ministre de l’Action et des Comptes publics Gérald Darmanin a annoncé une "prime exceptionnelle" de 200 euros nets pour les 40 000 agents chargés de répondre aux questions des contribuables. Le ministre indique répondre ainsi aux demandes des organisations syndicales sur la montée en charge du travail des agents des finances publiques. Il les recevra à nouveau prochainement.
"2,5 millions de bulletins de salaires du mois d’octobre 2018 [dans la fonction publique de l’État] mentionnent le taux et le montant du prélèvement à la source à titre informatif" dans le cadre de l’étape de préfiguration, indique une communication du comité de suivi du prélèvement à la source, à la suite d’une réunion tenue le mardi 30 octobre 2018. Sur le volet des employeurs publics, près de "40 000 déclarations PASRAU ont été déposées à date, ce qui correspond à 65 % des usagers concernés", indique le comité. À l’approche de l’échéance du 1er janvier 2019, où le prélèvement à la source sera effectif, "la DGFiP poursuit sa démarche de fiabilisation auprès des contribuables pour lesquels certains éléments d’état civil sont incomplets et qui pourraient empêcher l’envoi de leur taux personnalisé aux collecteurs".
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.