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91 % des diplômés de master en 2015 ont un emploi 30 mois après la fin de leurs études. Grâce aux données complémentaires à la Note Flash du Sies publiée le 13 décembre 2018 et à celles de la plateforme open data du MESRI, nous vous proposons de voir l'évolution, domaines disciplinaires et par universités, de ce taux d'insertion professionnelle ainsi que des conditions d'emploi et de rémunération des diplômés, de la promotion 2010 à la promotion 2015. Il en ressort notamment que la situation s'améliore pour les diplômés de SHS mais qu'elle se dégrade pour les diplômés de lettres, langues, arts.
La conjoncture est toujours aussi favorable pour les ingénieurs en France, qui sont plus d’1 million en 2017, parmi lesquels près de 40 000 nouveaux diplômés, précise la 29e enquête d’IESF, rendue publique mardi 26 juin 2018. 125 000 ingénieurs ont été recrutés en 2017, contre 113 000 ingénieurs en 2016. Selon l’enquête, il existe "une accélération des recrutements en France en 2017, allant au-delà des besoins d’intégration des nouveaux ingénieurs". Néanmoins, la proportion de femmes dans les nouvelles promotions de diplômés "stagne depuis quelques années".
90 % en master, 91 % en licence professionnelle et 88 % en DUT : ce sont les taux d'insertion professionnelle des jeunes diplômés 2010, 30 mois après l'obtention de leur diplôme, ainsi que l'indiquent les résultats de l'enquête commune 2012 (1), rendus publics par le MESR le 18 décembre 2013 (AEF n°471871). Enquêter avec une méthodologie commune résulte de la nouvelle mission de service public - l'orientation et l'insertion professionnelle – que la loi LRU confie aux universités. Si elle démontre que l'université n'est pas « une usine à chômeurs », selon la CPU, l'enquête pose aujourd'hui encore, après quatre éditions, nombre de questions. Comment concrétiser les obligations de la nouvelle loi ESR ? Comment comparer ? Faut-il labelliser l'enquête elle-même, ses opérateurs, son processus ? À qui sert cette enquête ?