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Un parcours de préprofessionnalisation de trois ans, basé sur "le statut des assistants d’éducation", sera mis en place "à compter de la rentrée scolaire 2019", indique le gouvernement dans son étude d’impact du projet de loi "pour une école de la confiance" présenté en Conseil des ministres le 5 décembre 2018. Le document souligne que la formation des enseignants "tiendra davantage compte de l’ancrage des Espé dans les universités et des attentes de l’État" et revient sur le changement de gouvernance des Instituts nationaux supérieurs du professorat et de l’éducation (INSPE).
Le Cneser, réuni en formation plénière, a voté contre les cinq articles du projet de loi "pour une école de la confiance" qu’il examinait en séance mardi 16 octobre 2018. Il a rejeté par 52 voix contre et 6 abstentions le texte concernant la réforme des Espé, c’est-à-dire les articles 10, 11 et 12 (lire sur AEF info). Le Sgen-CFDT a proposé deux amendements sur ce texte, bien accueillis par les autres membres du Cneser. L’instance consultative a adopté le projet d’arrêté sur le diplôme d’état infirmer en pratique avancée. Elle a rejeté l’ordonnance sur la politique de site (lire sur AEF info).
Les Espé deviennent "des instituts nationaux du professorat" et leur gouvernance est modifiée à travers la création d’un comité présidé par le recteur et le président de l’université, selon le titre III du projet de loi "pour une école de la confiance", qui sera examiné par le CSE le 15 octobre 2018 et par le Cneser le lendemain. Ce titre III aborde aussi le "prérecrutement" de certains assistants d’éducation.