En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Alors que la LFSS votée le 3 décembre 2018 prévoit de requérir pour certains des indicateurs liés à la qualité et la sécurité des soins, un seuil minimal de résultats à atteindre par les établissements de santé, sous peine de se voir notifier une pénalité financière par l’ARS (lire sur AEF info) (1), la DGOS et la HAS précisent ce dispositif. Stéphanie de Coopman, adjointe de Cécile Courrèges (DGOS) et Dominique Le Guludec, présidente de la HAS, sont revenues sur le sujet lors d’une conférence de presse de la HAS le 10 décembre (lire sur AEF info).
Dans sa première livraison de Questions d’économie de la santé (n°221- janvier 2017), l’Irdes s’intéresse à l’impact sur l’accès aux soins en cancérologie (chirurgie et chimiothérapie) de l’introduction de la T2A comme mode de tarification du MCO et de la mise en place de seuils d’activité minimale. Quel a été l'effet sur la redistribution des activités de cancérologie sur le territoire, sur l'accès géographique et sur la qualité des soins de ces deux réformes ? Si l'Irdes répond sur les deux premiers points, elle promet de répondre ultérieurement, dans un numéro consacré à la chirurgie des cancers du sein, à la question de savoir si la concentration de l'activité de chirurgie carcinologique a conduit ou non à améliorer les pratiques chirurgicales et à réduire les variations entre territoires.
Trois groupes de travail techniques ont démarré en novembre dernier des travaux dans le cadre du comité de réflexion sur la tarification hospitalière (Coretah Cancer) pour réfléchir à l’impact sur les organisations et les financements en cancérologie de l’essor des prises en charge en ambulatoire. C’est que précise notamment le premier rapport d’état des lieux global de l’avancement des actions annoncées l’an dernier en février 2014 par François Hollande, remis ce vendredi 13 février au chef de l’État par l’INCa. Les travaux du Coretah Cancer sont engagés autour de quatre enjeux : l’innovation en cancérologie, la promotion des prises en charge ambulatoires, l’accompagnement de l’essor des chimiothérapies orales et l’accompagnement de l’évolution des soins de support. Par ailleurs, le cahier des charges des expérimentations de chirurgie ambulatoire sera lancé début 2015.