En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le 12 novembre 2018, un accord permettant la mise en place du CSE a été signé chez Air France. Alors que le premier semestre a été marqué par un conflit social sur les salaires notamment et le départ du DGRH Gilles Gateau, la négociation sur le CSE a recueilli les signatures de la CFDT, la CFE-CGC-Unac, FO-SNPNC, le SNPL et l’Unsa, soit 80,94 % des voix exprimées aux dernières élections professionnelles. Un protocole d’accord préélectoral a également été signé (1). Patrice Tizon, directeur général adjoint ressources humaines d’Air France, livre à AEF info les points clés de l’accord.
Aperçu
Lire la suite
Alors que le conflit sur les salaires semble avoir abouti à un début de réponse avec la signature le 19 octobre 2018 d’un accord salarial pour 2018 et 2019 (lire sur AEF info), Air France annonce le recrutement d’une centaine de futurs pilotes fin octobre. "Jusqu’au 19 décembre [2018], Air France ouvre sa seconde campagne de recrutement de pilotes cadets. La compagnie souhaite ainsi recruter et former une centaine de jeunes pilotes d'ici 2020", indique un communiqué. En formation entre juin 2019 et janvier 2020 en France et au Portugal, les futurs pilotes suivront une formation de deux ans et rejoindront le groupe en tant que pilotes sur les lignes Air France et Transavia. La compagnie répond ici à un besoin de recrutement de 250 pilotes par an. Au printemps dernier, 110 jeunes pilotes avaient déjà été recrutés. Certains ont déjà commencé leur formation.
Lire la suite
La direction d’Air France annonce la signature, le 19 octobre 2018, d’un accord salarial avec la CFDT, la CFE-CGC/Unac, FO/SNPNC, le SPAF et l’Unsa aérien Air France (sol et PNC), représentant 76,4 % des suffrages exprimés aux dernières élections. Le SNPL n’est pas signataire. L’accord prévoit une augmentation générale des salaires de 2 % avec effet rétroactif au 1er janvier 2018, et une augmentation générale des salaires de 2 % au 1er janvier 2019, conformément aux propositions de Benjamin Smith, directeur général d’Air France-KLM et d’Air France, de début octobre. Le communiqué précise que "la prochaine NAO sera engagée avec les organisations syndicales représentatives de toutes les catégories de personnel en octobre 2019. Elle s’établira sur la base de l’environnement économique global, de la situation du groupe Air France-KLM et de la performance économique de la compagnie".
Lire la suite
Après une "dernière" réunion le 6 octobre 2018 entre la nouvelle direction d’Air France et les organisations syndicales de la compagnie aérienne, la direction a proposé "2 % rétroactifs au 1er janvier 2018 (comprenant le 1 % de NAO déjà attribué) et 2 % au 1er janvier 2019, avec un rendez-vous en octobre 2019 pour 'traiter du futur'", indique un document destiné aux adhérents du SNPL qu’AEF info a pu consulter. Si en volume, les 4 % proposés sur deux ans contre les 6 % de rattrapage demandés par l’intersyndicale, pourraient "convenir", ce qui semble inquiéter le SNPL, principal syndicat représentatif des pilotes, est que l’augmentation de 2 % prévue au 1er janvier 2019 couvre simplement le niveau d’inflation. "Cela signifierait qu’il n’y a pratiquement plus rien pour le rattrapage du blocage des six années de 2012 à 2017", regrette le SNPL dans le document.
Lire la suite
Aperçu
Lire la suite
Après avoir rencontré certaines organisations syndicales en bilatérales dans le courant du mois de septembre 2018, le nouveau PDG d’Air France, Benjamin Smith, reçoit le 1er octobre l’intersyndicale de la compagnie aérienne. Le dirigeant "s’est engagé à négocier avec l’intersyndicale […] pour trouver une solution et sortir du conflit que connaît Air France depuis le mois de février", indique la CGT dans un communiqué, précisant que l’intersyndicale a revu ses exigences et demande aujourd’hui un rattrapage des salaires "pour rejoindre l’inflation équivalente à 6 % sur les six dernières années". Fin septembre, Benjamin Smith disait mesurer "les attentes en interne, y compris les enjeux salariaux", auxquels il souhaitait "répondre avec une nouvelle approche", confiant dans sa capacité à construire "l’avenir et le succès d’Air France" avec les organisations syndicales.
Lire la suite
Aperçu
Lire la suite
Aperçu
Lire la suite
Aperçu
Lire la suite
3 min de lecture