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Frédérique Vidal et son homologue sénégalais, Mary Teuw Niane, annoncent que "17 formations viennent d’être approuvées" pour constituer la base de l’offre de formation du "campus franco-sénégalais". Ils s’expriment au sortir du 2e comité de pilotage du projet, le 16 novembre 2018. Les premiers étudiants sont attendus pour la rentrée 2019 pour être formés dans les domaines de l’agriculture, de l’agronomie, ou encore du numérique. Le Cnam, l’IMT, l’université Bretagne Sud, l’UTT, Agreeniumn, SupAgro, le CNRS, l’IRD et le Cirad sont les 9 porteurs de projets français à ce jour engagés.
Faut-il s’attendre à un débat prochain sur l’augmentation des droits d’inscription ? Plusieurs signaux concomitants autorisent à se poser la question : selon une "note gouvernementale" qui a fuité dans l’AFP, l’exécutif envisagerait d’augmenter les droits pour les étudiants extracommunautaires, préconisation également formulée par le rapporteur de la Mires. Un rapport de la Cour des comptes sur les droits dans le supérieur est également attendu (lire ici). Enfin, dans une tribune au Monde, l’économiste Alain Trannoy propose de porter les droits d’inscription en master à 3 000-5 000 € par an.