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Une information nationale de qualité "passe d’abord par une production de données locales basée sur des méthodes et outils communs", estime Amélie Briffaux, présidente de Resosup. En ce sens, le réseau participe à un groupe de travail piloté par la Dgesip sur l’harmonisation des pratiques des observatoires. Par ailleurs, il a organisé le 28 septembre une journée de formation à l’université de Corse, à Corte, sur le retour d’expérience de l’Ofip (Observatoire des formations et de l’insertion professionnelle), qui a été certifié ISO 9001 version 2015 par l’Afnor. Enfin, un groupe de travail piloté par Resosup et la Courroie finalise la production d’un guide méthodologique sur "l’évaluation des stages par l’étudiant". Le point commun de ces démarches est de "promouvoir la démarche qualité dans le réseau", analyse Amélie Briffaux.
90 % en master, 91 % en licence professionnelle et 88 % en DUT : ce sont les taux d'insertion professionnelle des jeunes diplômés 2010, 30 mois après l'obtention de leur diplôme, ainsi que l'indiquent les résultats de l'enquête commune 2012 (1), rendus publics par le MESR le 18 décembre 2013 (AEF n°471871). Enquêter avec une méthodologie commune résulte de la nouvelle mission de service public - l'orientation et l'insertion professionnelle – que la loi LRU confie aux universités. Si elle démontre que l'université n'est pas « une usine à chômeurs », selon la CPU, l'enquête pose aujourd'hui encore, après quatre éditions, nombre de questions. Comment concrétiser les obligations de la nouvelle loi ESR ? Comment comparer ? Faut-il labelliser l'enquête elle-même, ses opérateurs, son processus ? À qui sert cette enquête ?