En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le comité des parties prenantes, remis au goût du jour par le rapport Notat-Senard, est expérimenté par plusieurs entreprises, qu’elles soient cotées au CAC 40 ou qu’elles se désignent comme entreprises à mission. C’est pourquoi l’Observatoire des cadres a organisé mercredi 3 octobre 2018 une conférence intitulée "Comités des parties prenantes, utiles ou Théodule ?", afin de présenter leur rôle, leur composition, leur fonctionnement. L’Orse y a apporté un éclairage méthodologique, complété par les témoignages de Michelin et d’un enseignant-chercheur connaissant les cas de la Camif et Nutriset.
Le rapport Notat-Sénard, qui alimente le projet de loi Pacte présenté en conseil des ministres le 20 juin prochain, a relancé l’idée des "comités des parties prenantes". Sanofi expérimente cet outil depuis 2012. Une "chambre d’écho, de co-construction" selon le groupe pharmaceutique, invité à témoigner lors du débat "Parties prenantes : vers un dialogue renouvelé ?", organisé par le Comité 21 jeudi 7 juin 2018. Mais ces comités suscitent également des crispations, du côté des ONG comme des syndicats.