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"Nos organisations s’inscrivent dans la journée interprofessionnelle du 9 octobre. […] Depuis plus d’un an, le président de la République, le Premier ministre et le gouvernement accumulent les mesures régressives et mettent en œuvre une politique d’austérité pour le plus grand nombre, satisfaisant ainsi les vœux d’une minorité tournée vers une société de profit qui considère le service public comme une charge financière inutile", annoncent les fédérations de la fonction publique de la CGT, de FO, de la FSU, de Solidaires et de la FA-FP dans un communiqué diffusé vendredi 28 septembre 2018.
Le bureau national de l’Union syndicale Solidaires décide, jeudi 6 septembre 2018, de s’inscrire dans l’appel à la mobilisation nationale interprofessionnelle, le 9 octobre prochain (lire sur AEF info). Participant à la réunion intersyndicale du 30 août dernier avec la CGT, FO, l’UNL et l’Unef, l’organisation syndicale avait réservé sa position, souhaitant consulter ses instances. "Nous souhaitons que cette journée soit un point d’appui pour construire le rapport de force avec tous ceux ou celles qui le souhaitent, pour arrêter les politiques antisociales de ce gouvernement qui visent à présent nos retraites, l’assurance chômage, la fonction publique…", explique l’Union, ajoutant que ce 9 octobre ne doit pas être "une date isolée et sans perspective".
Dans la droite ligne de la mobilisation du 28 juin dernier (lire sur AEF info), la CGT, FO, l’Unef et l’UNL appellent à "faire du 9 octobre prochain une première journée de mobilisation et de grève interprofessionnelle". L’Union syndicale Solidaires se positionnera sur cet appel la semaine prochaine.
La Cour de cassation rappelle dans deux arrêts du 18 janvier 2023 que l’employeur doit mettre en œuvre les critères d’ordre des licenciements de manière loyale, objective et pertinente. Tel n’est pas le cas de la décision de l’employeur de valoriser, au titre des qualités professionnelles, un diplôme de langue de faible intérêt pour un poste administratif dans un établissement agricole, ou de pondérer le critère des charges de famille par tranches d’âge des enfants sans que cette distinction soit justifiée.