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L’annonce de suppressions de postes dans le 2nd degré, dans l’enseignement privé et les services administratifs (lire sur AEF info) provoquent la "consternation et l’incompréhension" de la FSU, de l’Unsa-Éducation et du Sgen-CFDT. Dans un communiqué, le 25 septembre 2018, ils appellent à "une journée de grève le 12 novembre prochain" et "demandent au gouvernement de renoncer à son projet". Ces suppressions mèneront à "une nouvelle dégradation des conditions d’études des élèves et de travail des personnels". Cette décision "n’est pas compatible avec l’ambition d’un enseignement de qualité et d’une plus grande égalité de réussite, ni d’une bonne administration du système éducatif", poursuivent les syndicats, qui soulignent le "contexte d’augmentation démographique". Le Snuipp-FSU se mobilisera aussi le 9 octobre (lire sur AEF info), lors d’une journée de mobilisation interprofessionnelle.
La création de 1 900 postes d’enseignants dans le primaire prévue par le MEN (lire sur AEF info) "ne suffira pas" à terminer le dédoublement des CP et CE1 en REP et REP+, juge le Snuipp-FSU, le 21 septembre 2019 dans un communiqué. 4 000 postes supplémentaires seraient pour cela nécessaires, estime le premier syndicat des professeurs des écoles, qui dénonce "un sous-investissement chronique dans le budget de l’éducation et des effectifs bien supérieurs à la moyenne des pays de l’OCDE".
L’annonce de la suppression de 1 800 postes dans l’Éducation nationale, le 17 septembre 2018, "cachait la réalité du nombre de suppressions dans le 2nd degré", déplore le Snes-FSU dans un communiqué, le 19 septembre (lire sur AEF info). Le syndicat va contacter les syndicats de l’éducation "pour construire une riposte rapide". La Fnec-FP-FO, elle, déplore une "facture lourde pour les personnels administratifs et ceux du 2nd degré". Quant au SNPDEN, il critique une annonce contre-productive au moment de la réforme des lycées. Le SE-Unsa, la Ferc-CGT et la SDA réagissent également.
La CGT, FO, l’Unef et l’UNL appellent à "faire du 9 octobre prochain une première journée de mobilisation et de grève interprofessionnelle". L’Union syndicale Solidaires se positionnera sur cet appel la semaine prochaine.