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Une note de l’INRS datée de juin 2018 traite du danger de la présence de perturbateurs endocriniens dans les milieux professionnels. Elle rappelle "les enjeux de santé au travail liés à ces agents chimiques" et détaille "les actions mises en œuvre par l’INRS sur le sujet pour contribuer à protéger la santé et la sécurité des travailleurs". L’institut insiste aussi sur l’importance de la sensibilisation aux perturbateurs endocriniens, même pour des expositions à faible dose, dans les entreprises.
Les préconisations de la mission sur la santé au travail confiée à la députée LREM Charlotte Lecocq, au consultant Bruno Dupuis (Alixio) et à Henri Forest (CFDT), seront rendues publiques par le Premier ministre le 27 août 2018, indique la parlementaire dans un communiqué daté du 7 août. Les trois rapporteurs feront "des propositions pour renforcer la prévention et limiter les risques au travail", et soumettront "une refonte de la gouvernance du système de prévention". "Ce rapport servira de base pour de futures négociations qui s’ouvriront à la rentrée", indique la députée. Elle se défend par ailleurs d’être à l’origine des réflexions en cours sur "le transfert des indemnités journalières" (lire sur AEF info). "Cette question est étudiée par le gouvernement sur la base d’un autre rapport remis par l’Igas."
Deux décrets relatifs à la prévention du risque lié aux rayonnements ionisants dans le cadre professionnel sont publiés au Journal officiel ce mardi 5 juin 2018. Ils sont pris dans le cadre de la transposition de la directive 2013/59/Euratom du 5 décembre 2013 fixant les normes de base relatives à la protection sanitaire contre les dangers résultant de l’exposition aux rayonnements ionisants et pour l’application de l’ordonnance du 10 février 2016 portant diverses dispositions en matière nucléaire. Ils visent à réorganiser les dispositions réglementaires en la matière.