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Pour Greenpeace et Générations Futures, la liste des cinq substances néonicotinoïdes interdites à compter du 1er septembre 2018, publiée le 1er août par décret, "est loin d’être suffisante", déclarent-ils par communiqué. Ils réagissent ce 2 août alors que la FNSEA et six autres organisations agricoles ont demandé la veille la publication en urgence des dérogations qui pourront être accordées jusqu’au 1er juillet 2020. Mais pour Greenpeace et Générations Futures, "une véritable interdiction des néonicotinoïdes ne sera efficace que si l’ensemble de ces derniers sont interdits".
L’Anses publie lundi 5 mars 2018 son second rapport d’étape sur les alternatives aux néonicotinoïdes, portant sur les usages sur vigne, betterave industrielle et fourragère, céréales à paille, maïs et laitue. Ces éléments seront intégrés dans un rapport final prévu pour "le second trimestre 2018", qui concernera l’ensemble des usages phytopharmaceutiques des néonicotinoïdes. L’agence publie en outre les conclusions de ses travaux d’expertise sur l’impact sur la santé humaine de ces substances. Si son expertise "ne met pas en évidence d’effet nocif, pour des usages respectant les conditions d’emploi fixées par les autorisations de mise sur le marché", elle recommande toutefois de réduire au maximum les usages du thiaclopride. La loi biodiversité prévoit l’interdiction des néonicotinoïdes à compter du 1er septembre 2018, des dérogations pouvant être accordées jusqu’au 1er juillet 2020.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :