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Le projet de loi "pour la liberté de choisir son avenir professionnel", définitivement adopté mercredi 1er août 2018, comporte plusieurs mesures visant à simplifier l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés, mettre en place un référent chargé d’accompagner les personnes en situation de handicap, ou encore habiliter le gouvernement à prendre par voie d’ordonnance les mesures relatives aux conditions de refondation de la politique d’emploi des travailleurs handicapés.
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S’il est "utile" pour 81 % des entreprises, le cadre légal sur l’emploi de personnes handicapées est jugé "contraignant" par 67 % des entreprises et par 87 % de celles qui emploient plus de 250 salariés, selon la première édition d’un baromètre publié par le Club Être, un réseau d’entreprises engagées sur le handicap. Parmi les 320 décideurs ou responsables de politiques handicap interrogés par l’institut de sondage, 83 % pointent le problème du "manque de candidats disposant des compétences attendues" et 71 % le "manque de moyens humains" pour la mise en place de politiques handicap. Pour améliorer la situation, la grande majorité des répondants attend "un dialogue plus efficace" avec les acteurs institutionnels (Agefiph, MDPH, Direccte) ainsi qu’une "simplification de la RQTH". L’appui des acteurs de la santé au travail est attendu "en priorité" par 57 % des entreprises.