En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Fin juin 2018, un "groupement régional d’appui au développement de la e-santé" en Grand Est a vu le jour sous la forme d’un GIP et sous l’appellation "Pulsy", en référence aux valeurs qu’il portera ("Proximité, Unité, Lien et SYnergie"), lors d’une AG constitutive qui a réuni une centaine de professionnels de santé, directeurs d’établissements et représentants de structures institutionnelles (assurance maladie, départements, etc.) à Strasbourg. Le rapprochement des GCS existants dans les trois ex-régions, impulsé par l’ARS Grand Est, s’inscrit dans le cadre d’un déploiement national initié par l’instruction ministérielle du 10 janvier 2017. Pulsy est "un groupement de personnes morales de droit public et de droit privé, dont le siège se situe à Nancy", à l’instar de l’ARS. Ses membres fondateurs ont été regroupés en 4 collèges : institutionnel, sanitaire, libéral, médico-social.
L'avenant n° 6 à la convention médicale dédié à la pratique de la télémédecine par les médecins libéraux dans le cadre normal de leur exercice, dont la négociation s'est achevée le 18 avril, va-t-il être signé par tous les syndicats ? Ce 25 mai, à la veille d'une AG décisive de la CSMF relative à la signature de l'avenant – qui la conduirait à adhérer à la convention médicale de 2016 - deux syndicats prennent position. La FMF appelle à ne pas signer cet avenant jugeant "pas acceptable" de voir l'interprétation d'un examen complémentaire rémunérée "en-dessous de la nomenclature ou en dessous d'un C [lettre-clé de la consultation]". Le SML veut parapher l'avenant malgré un niveau "encore insuffisant de rémunération". MG France décidera lors de son assemblée générale du 9 juin. Nicolas Revel défend le projet d'accord devant l'Ajis, le jugeant très novateur.
Le service informatisé « ROR » (Répertoire opérationnel des ressources en Lorraine) est mis à disposition de la quarantaine d'établissements MCO (médecine-chirurgie-obstétrique) régionaux, depuis son ouverture le 25 juin 2013 lors d'une rencontre organisée par l'ARS Lorraine et le CGS Télésanté Lorraine au CHR Metz-Thionville. Ce projet, lancé fin 2010 en Lorraine dans le cadre des dispositions du plan urgences de 2006 (1), permet d'« orienter efficacement les patients » et de « cibler des soins spécialisés dans le cadre d'une urgence ». Il se fonde sur la solution déployée par la région Ile-de-France. Les représentants de l'ARS Lorraine et du GCS Télésanté Lorraine précisent les avantages à attendre en termes de prise en charge, ainsi que la méthodologie de déploiement. « À terme, toute l'offre de soins de la région Lorraine devra être disponible dans le ROR », indique-t-on à l'ARS.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.