En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
"On ne vit pas une lente progression mais une régression" de la place de femmes dans le secteur informatique, soulignent les intervenants d’une réunion consacrée à la place des femmes dans les sciences, organisée conjointement, le 28 juin 2018, par la délégation aux droits des femmes (1) du Sénat et l’Opecst. Est évoquée à plusieurs reprises la nécessité d'un "cadre contraignant" pour renforcer la présence des femmes, notamment dans les instances dirigeantes. "Les quotas sont difficiles à faire accepter, il y a un travail d’explication à mener", prévient le député Cédric Villani.
Créée il y a 4 ans, l’AFDESRI lance son site internet, www.afdesri.fr, annonce l’association dans un communiqué, lundi 2 juillet 2018. L’AFDESRI, présidée par la rectrice de Strasbourg Sophie Béjean, entend ainsi "fédérer ses membres, mieux faire entendre sa voix, développer son soutien après des femmes dirigeantes de l’ESRI et leur donner plus de visibilité". Rappelant que seuls 12 % des présidents d’université sont des femmes, l’association fait également part de sa volonté de "renforcer son action tant auprès des femmes dirigeantes qu’auprès des ministères". "Outre les séminaires, les rencontres avec les ministères concernés et la participation aux actions des réseaux féminins de la fonction publique, l’AFDESRI organise des formations et favorise réseaux et contacts entre les femmes", précise l’association.
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.