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Comme pour les autres objets créés par le premier programme d’investissements d’avenir, la question se pose de savoir comment prolonger les infrastructures nationales en biologie et santé au-delà de 2019. En inaugurant le bâtiment de l’infrastructure Idmit sur le site du CEA à Fontenay-au-Roses (Hauts-de-Seine), mardi 26 juin 2018, Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, indique que ses services lancent, en lien avec les opérateurs, une "estimation fine des besoins" de ces infrastructures, "dans la perspective de leur évaluation en 2019".
Vingt projets dans le domaine de la santé et des biotechnologies, lauréats à la deuxième vague du programme d'investissements d'avenir, sont annoncés mardi 7 février 2012 par Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et Jean-Luc Tavernier, commissaire général adjoint à l'investissement (1). Les financements qui leur sont attribués atteignent un total de 280 millions d'euros, dont près de 100 millions d'euros pour le CEA (Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives), porteur de cinq projets. Sont retenus deux projets en « nanobiotechnologies » (3,7 millions d'euros), cinq projets en « bioinformatique » (7,15 millions d'euros), deux « démonstrateurs préindustriels » (38 millions d'euros) et onze « infrastructures nationales en biologie et santé » (231 millions d'euros). Les lauréats de l'appel à projets « biotechnologies et bioressources » seront pour leur part annoncés « dans le courant du mois de février ».
Neuf infrastructures nationales de recherche en biologie et santé et deux démonstrateurs préindustriels en biotechnologie sont retenus au titre du programme d'investissements d'avenir et reçoivent un financement total de 260 millions d'euros. C'est ce qu'annoncent vendredi 4 mars 2011 Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et René Ricol, commissaire général à l'investissement. Les neuf infrastructures sont dotées de 220 millions d'euros « pour financer l'investissement ainsi que le fonctionnement des projets sur dix ans ». Les deux démonstrateurs préindustriels sont quant à eux financés à hauteur de 20 millions d'euros chacun, selon les mêmes modalités.