En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
En déplacement en Bretagne, le président de la République est revenu, jeudi 21 juin 2018, sur la suppression des "aberrations" de la loi littoral que doit permettre le projet de loi Elan dont l’examen au Sénat va commencer début juillet, appelant au "pragmatisme" et au "bon sens".
À l’occasion d’un déplacement en Bretagne le 20 juin 2018, Nicolas Hulot assure à Ouest France que le gouvernement veut inscrire la défense de l’environnement à l’article 1er de la Constitution. Initialement, le projet de loi de réforme constitutionnelle prévoyait d’inscrire le climat à l’article 34, qui définit le domaine de la loi, donnant une faible portée à la mesure. Le 12 juin, en commission du développement durable, les députés ont modifié le texte pour inscrire "la préservation de l’environnement" à l’article 1er. "Ce sera dans l’article 1. […] C’est le vœu gouvernemental", assure aujourd’hui le ministre qui "personnellement" souhaite qu’environnement, climat et biodiversité y figurent, de même que "la finitude des ressources". "Mais ça pose un problème juridique donc ce n’est pas aussi simple que ça", ajoute-t-il. Le texte sera examiné en commission des lois du 26 au 28 juin.
Le président de la République Emmanuel Macron a confirmé le lancement de six parcs éoliens en mer, mercredi 20 juin 2018, lors d’un déplacement en Bretagne consacré pour partie à la visite de projets éoliens fixes et flottants au Cap Fréhel. La renégociation des tarifs annoncée il y a plusieurs mois a abouti : le tarif passera de 200 €/MWh à 150 €/MWh. "La puissance de deux réacteurs nucléaires va être installée dans les prochaines années", se réjouit Nicolas Hulot via Twitter, qui annonce "des emplois pour nos territoires". Selon son secrétaire d'État Sébastien Lecornu, Édouard Philippe "a mené des négociations permettant de réduire l’impact sur le budget de l’État à hauteur de 15 milliards d’euros sur 20 ans". Un amendement à ce sujet est en cours d’adoption dans le projet de loi "société de confiance", examiné en nouvelle lecture à l’Assemblée nationale (lire sur AEF info).