En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Les ministres de la Justice et de l’Intérieur de l’Union européenne approuvent, lundi 4 juin 2018, la proposition de la Commission européenne de renforcer les pouvoirs de collaboration d’Europol avec plusieurs États tiers en matière de lutte contre le terrorisme et le crime transnational. Cette proposition figurait dans le paquet de mesures présenté par la Commission européenne en octobre 2017 (lire sur AEF info). Cet accord va permettre à la Commission de négocier avec l’Algérie, l’Égypte, Israël, la Jordanie, le Liban, le Maroc, la Tunisie et la Turquie. L’objectif est de mettre en place des cadres juridiques bilatéraux permettant l’échange d’informations majeures et de données personnelles entre ces États et l’agence de coopération policière européenne.
Europol est "au cœur d’un processus associant l’analyse criminelle et la prise de décision politique", écrit Pierre Berthelet, docteur en droit et chercheur associé au CREOGN, dans une note intitulée p
La Commission européenne réaffirme son souhait de renforcer les pouvoirs de négociation d’Europol avec les pays tiers "afin de combattre efficacement le terrorisme et le crime transnational". C’est ce qu'elle indique dans un communiqué, mercredi 20 décembre 2017. Cette proposition figurait dans le paquet de mesures renforçant la lutte contre le terrorisme, présenté par la Commission européenne en octobre 2017 (lire sur AEF info). Cette dernière recommande notamment au Conseil de l’Union européenne d’autoriser l’ouverture de négociations pour des conventions portant sur le transfert de données personnelles entre Europol et les autorités compétentes de huit pays tiers : l’Algérie, l’Égypte, Israël, la Jordanie, le Liban, le Maroc, la Tunisie et la Turquie. Cette proposition doit désormais être examinée par le Conseil de l’Union européenne.
Confrontée à une grève des cheminots à la veille des premiers départs en vacances, la direction de la SNCF a convoqué une table ronde sur les salaires, mercredi 6 juillet 2022. À cette occasion, elle aurait proposé des mesures de revalorisation salariale applicables de manière rétroactive au 1er avril, selon plusieurs organisations syndicales. La CGT Cheminots fait notamment état d’une "augmentation générale des salaires de 1,4 %", Sud Rail évoquant de son côté une enveloppe de 1,2 %. Les deux syndicats signalent également une "majoration salariale annuelle uniforme de 400 euros annuels" et la revalorisation de plusieurs primes et gratifications (vacances, astreintes, travail de nuit ou le week-end…), ainsi que l’augmentation des premiers niveaux de la grille salariale. Au total, l’ensemble de ces mesures représenteraient une augmentation médiane de 3,1 %.