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"Malgré les effets correctifs majeurs toujours exercés par les politiques publiques, l’accroissement du parc social, qui accueille de plus en plus de ménages à bas revenus, et le ciblage des aides à la personne n’ont pas suffi à empêcher la hausse considérable de l’effort financier que consentent les plus modestes pour se loger" pointe l’Onpes dans son rapport annuel, publié mercredi 2 mai 2018. L’observatoire appelle donc à poursuivre "simultanément" trois "grands principes majeurs" : la prévention des ruptures susceptibles de conduire hors du logement ; le pilotage et la gestion de l’urgence ; l’élaboration de solutions pérennes pour le maintien dans le logement. Et recommande, pour accompagner ces politiques publiques, une meilleure connaissance "statistique et qualitative" du mal-logement.
Prévoir plus de places d’hébergement, ne pas expulser sans reloger, garantir l’accès et le maintien dans le logement, développer l’offre de logements sociaux et très sociaux et favoriser l’accès aux droits des mal-logés et des SDF : voilà les "cinq engagements incontournables" que doivent prendre les candidats à l’élection présidentielle pour "en finir avec le mal-logement et la grande exclusion", selon le Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement des personnes sans abri et mal-logées. Après avoir présenté jeudi 16 mars 2017 ces cinq priorités qui résument un total de 50 propositions, ce réseau de 50 associations