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À Toulouse-II, le TA ordonne l’évacuation des bâtiments occupés, dans une décision rendue à la suite d’un recours déposé par l’UNI. À Montpellier-III, des bâtiments de l’université ont de nouveau été bloqués par soixante étudiants, après une semaine de déblocage. Par ailleurs, l’ancien doyen de la faculté de droit de l’université de Montpellier, Philippe Pétel, a porté plainte contre X pour "injures, menaces et incitation à la haine". À Paris, des AG ont reconduit jusqu’au 4 mai prochain le blocage de Paris-VIII et jusqu’au 7 mai le blocage de Paris-Nanterre, tandis que des étudiants occupent le bâtiment de l’EHESS du 96 bd Raspail depuis lundi. L’école regrette d’ailleurs un "début d’intervention policière sans accord de la présidence", mardi 1er mai au soir. À Rennes, une intersyndicale dénonce des violences policières envers des étudiants en marge de la manifestation du 1er mai.
Des représentants du personnel qui soupçonnent, au vu de leur évolution au regard de la moyenne des salaires de leur catégorie, une discrimination syndicale, peuvent saisir le juge sur le fondement de l’article 145 du code de procédure civile pour obtenir des éléments nominatifs sur leurs collègues de travail afin de pouvoir "effectuer une comparaison utile". C’est ce que rappelle la Cour de cassation le 1er juin 2023. Elle ajoute que la résistance de l’employeur à communiquer ces éléments peut justifier qu’il soit condamné à payer des frais au titre de l’article 700 du CPC.