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Les écoles Philippe de Comines (maternelle) et Victor Duruy (élémentaire) obtiennent une dérogation pour continuer à ouvrir le mercredi matin, annonce la ville de Lille vendredi 20 avril 2018. Cette organisation décidée en 1995 dans un cadre expérimental (lire sur AEF info) était menacée par le rétablissement de la semaine de quatre jours, résultat d’une consultation auprès des familles (lire sur AEF info). Des parents d’élèves du groupe scolaire ont manifesté mardi 17 avril pour demander le maintien d’une organisation "qui a fait ses preuves", s’étonnant des réticences de la DSDEN. "Les enseignements sont concentrés sur sept demi-journées, laissant libres deux après-midi par semaine pour des activités périscolaires de grande qualité à destination de tous les enfants", rappelle Martine Aubry, maire (PS) de Lille, qui dit avoir "toujours défendu ce dispositif" dans ce quartier en difficulté.
À Arras (Pas-de-Calais), l'école élémentaire Voltaire expérimente depuis la rentrée de septembre 2008 l'organisation de la semaine en neuf demi-journées, du lundi au vendredi. Elle a obtenu pour cela une dérogation. Dans le Nord, à Lille, l'école élémentaire Duruy et l'école maternelle Philippe de Comines, ouvrent également le mercredi matin. Mais, dans leur cas, cet emploi du temps particulier a été mis en place dès 1995. Dans ces écoles, qui misent sur la régularité des rythmes de l'élève, la suppression du samedi matin est critiquée.
La deuxième chambre civile de la Cour de cassation rappelle dans un arrêt du 12 mai 2022 que l’accord d’intéressement déposé hors délai n’ouvre droit aux exonérations que pour les périodes de calcul ouvertes postérieurement à son dépôt. Elle approuve une cour d’appel ayant jugé qu’il s’agissait d’une condition de fond au bénéfice immédiat de l’exonération des cotisations, et confirme la condamnation d’une entreprise à payer 407 000 euros de redressement et majorations de retard.