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Résosup (Réseau des observatoires de l’enseignement supérieur) va participer à deux groupes de travail avec le Sies, l’un sur le questionnaire d’enquête d’insertion des diplômés de master et de licence professionnelle, l’autre sur la formalisation des pratiques des observatoires, déclare à AEF Amélie Briffaux, présidente de Resosup. "Alors que l’ASP (Autorité de la statistique publique) pousse à la labellisation de cette enquête, nous sommes favorables à une certification des structures plutôt qu’à une labellisation de l’enquête", qui figerait le questionnaire. "Nous voulons continuer à travailler en partenariat et en confiance avec les pouvoirs publics, en préservant la possibilité d’adapter le questionnaire à diverses évolutions", poursuit-elle.
90 % en master, 91 % en licence professionnelle et 88 % en DUT : ce sont les taux d'insertion professionnelle des jeunes diplômés 2010, 30 mois après l'obtention de leur diplôme, ainsi que l'indiquent les résultats de l'enquête commune 2012 (1), rendus publics par le MESR le 18 décembre 2013 (AEF n°471871). Enquêter avec une méthodologie commune résulte de la nouvelle mission de service public - l'orientation et l'insertion professionnelle – que la loi LRU confie aux universités. Si elle démontre que l'université n'est pas « une usine à chômeurs », selon la CPU, l'enquête pose aujourd'hui encore, après quatre éditions, nombre de questions. Comment concrétiser les obligations de la nouvelle loi ESR ? Comment comparer ? Faut-il labelliser l'enquête elle-même, ses opérateurs, son processus ? À qui sert cette enquête ?
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :