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Le 2 mars 2018, la nouvelle métropole de Clermont-Ferrand votait son premier budget primitif – marqué par les contraintes de la LPFP 2018-2022 qui prévoit une limitation des dépenses de fonctionnement à 1,2 %. Or l’évolution des dépenses a été estimée à 4,7 % ce qui pourrait amener la collectivité à devoir s’acquitter d’une sanction de 3,8 millions d’euros en 2019. Cependant, l’année 2017 qui sert de référence pour la mesure des 1,2 % ne serait pas représentative d’un fonctionnement annuel courant. Ainsi, selon la DGA en charge des ressources, Marie Destrez, la transformation de la collectivité en communauté urbaine en 2017 a notamment provoqué une importante hausse de la masse salariale qui a affecté l’année 2017 mais aussi l’année 2018. Une situation particulière que la métropole souhaite aujourd’hui faire valoir dans la négociation relative à la contractualisation avec l’État.