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La suppression de 208 postes se révèle décidément plus compliquée que prévu pour la direction de Pimkie : après avoir renoncé à son projet de rupture conventionnelle collective, rejeté par les organisations syndicales, la direction a échoué à rallier suffisamment de signataires à son projet d’accord de départs volontaires. La CFE-CGC et la CFDT, qui représentent à elles deux plus de 47 % des voix aux dernières élections professionnelles, ont pourtant fait part de leur intention de signer le texte. Mais la CGT et FO s’y refusent, fermant la voie à tout accord majoritaire. La direction doit donc présenter une nouvelle version, unilatérale, du plan de départs volontaires : le CHSCT sera consulté jeudi 8 mars 2018, et les CE et CCE le lendemain. Les syndicats craignent que l’enseigne ne revienne à la version initiale de son projet, mais espèrent qu’elle maintiendra les mesures négociées.