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"Je constate que le CNRS n’a pas encore de structure dédiée à l’intégrité scientifique, ce qui est à l’évidence un manque important pour un organisme comme le nôtre", observe Antoine Petit, PDG du CNRS, dans une interview publiée par CNRS Hebdo, jeudi 1er mars 2018. "Il est clair que cette absence de dispositif ne peut perdurer au CNRS, poursuit-il. En conséquence, j’ai missionné un groupe de travail dont j’ai confié la présidence à Olivier Le Gall, président de l’Ofis" (Office français de l’intégrité scientifique, lire sur AEF info). Le président du CNRS en attend d’ici trois mois "des propositions et des recommandations sur le traitement par le CNRS des questions de méconduite et de fraude scientifiques, et plus généralement sur la promotion des valeurs de l’intégrité scientifique". "J’entends que le CNRS soit exemplaire dans le traitement de ces questions", déclare-t-il.