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L’édition 2018 du "socle interministériel" des logiciels libres recommandés par l’État vient d’être mise en ligne, annonce la Dinsic le 12 février 2018. L’objectif de cette liste, mise à jour chaque année depuis 2013, est d'"encourager l’usager concerté et coordonné des solutions libres dans l’administration". Ces dernières ont été testées et approuvées par "au moins une entité" publique". Les 152 logiciels libres sont classés par type d’usage (bureautique, développement, multimédia, messagerie...). Sont ainsi référencés Keepass pour la gestion des mots de passe, LibreOffice pour la bureautique, Redmine pour la gestion de projets ou BlueGriffon pour l’édition HTML.
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Le catalogue de référence du logiciel libre de l’État (dit "SILL") précise aussi le type de licence correspondante (qui fixe les conditions d’utilisation des logiciels) et la compatibilité avec les principaux systèmes d’exploitation. L’existence ou non d’une version française est également mentionnée.
23 NOUVEAUTÉS EN 2018
23 logiciels libres font leur entrée dans la version 2018 du catalogue de référentiel de l’État. Il s’agit par exemple de Qwant (moteur de recherche français respectant la vie privée sur internet), RocketChat (messagerie instantanée), Ublock Origin (bloqueur des publicités et des pisteurs), JaCoCo (mesure de la qualité et sécurité de code source en Java) ou encore Swarm (orchestrateur de containers)
Chaque logiciel du socle est suivi par un référent, agent du secteur public. Ce document "est géré par les correspondants ministériels, dans le cadre de l’instance de mutualisation sur les logiciels libres, sous le contrôle de la Dinsic", précise le gouvernement.
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Florianne Finet,
journaliste