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Des enseignants "en perte de sens", "atterrés" par la méthode du ministre de l’Éducation nationale mais dont "l’inquiétude" ne se traduit pas en mobilisation, tel est le constat des syndicats de l’éducation de la FSU, réunis en conférence de presse mercredi 7 février 2018. 5,49 % des enseignants du 2nd degré étaient en grève la veille, à l’appel du Snes-FSU et de la coordination nationale de l’éducation, pour demander le retrait des réformes du baccalauréat, du lycée et de l’accès au 1er cycle (lire sur AEF). Les syndicats disent observer néanmoins une "forte affluence" dans les heures d’informations syndicales, signe que la popularité de Jean-Michel Blanquer "s’effrite", y compris dans le 1er degré. Dans la voie professionnelle, "la colère monte", affirme Sigrid Gerardin, secrétaire générale du Snuep-FSU. "Nous allons mettre tout en œuvre pour créer les conditions de mobilisation."