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Dans une démarche de simplification et d'amélioration de sa visibilité, l’université de Tours abandonne l’appellation "François Rabelais" de son nom et se dote d’un nouveau logo "plus sobre et plus moderne", explique à AEF son président Philippe Vendrix, à l’occasion d’une interview, vendredi 2 février 2018. Philippe Vendrix revient également sur l’actualité de la Comue Centre-Val de Loire, puisque ses membres préparent "un argumentaire pour proposer une expérimentation", dans le cadre de l'ordonnance prévue sur les regroupements (lire sur AEF info). L’objectif est de trouver une "structure institutionnelle la plus agile", dit-il. Concernant la dévolution du patrimoine, il annonce qu’un schéma stratégique immobilier devrait être présenté aux conseils centraux de l’université fin mai-début juin 2018.
Le CA de l'université de Tours a voté en faveur du projet de statuts d’une nouvelle Comue Centre-Val-de-Loire par 19 voix pour, 5 contre et 7 blancs et nuls, lundi 3 juillet 2017. L’université d’Orléans a également voté pour à 22 voix, 5 contre et 2 abstentions, vendredi 30 juin. Cette Comue rassemblera les universités d’Orléans et de Tours, le CHU de Tours, le BRGM et l’Insa Centre-Val de Loire. "Le siège de la future structure sera à l’hôtel Dupanloup à Orléans et le président a assuré que cette nouvelle Comue n’aboutirait pas à 'une fusion absorption' de l’université d’Orléans par l’université de Tours", indique à AEF le Snasub-FSU de l’université d’Orléans, le président Ary Bruand n’ayant pas souhaité répondre aux questions d'AEF. Son CA a également approuvé "en seconde lecture" le "plan de retour à l’équilibre" budgétaire (14 pour, 10 contre, 5 abstentions), rejeté en avril dernier.
La région Normandie reconduit cette année un dispositif d'"éducation aux écrans" pour les lycéens et apprentis, présenté en mai 2022 comme "unique en France". Mené en partenariat avec le rectorat de Normandie, la DRAAF, Canopé et les Ceméa, il concerne chaque année 10 000 jeunes normands dans 80 établissements (lycées, CFA, MFR, etc.) et permet de former 120 enseignants pour accompagner les élèves. Le programme prend la forme d’un parcours avec des "ateliers pratiques" pour lesquels 250 personnels éducatifs sont mobilisés. Il s’agit de sensibiliser aux "enjeux et problématiques" liés aux écrans, en abordant des thèmes d’EMI comme les réseaux sociaux, l’identité numérique, les droits et devoirs des internautes, etc. Le dispositif vise ainsi à inciter les jeunes "à adopter des pratiques à la fois raisonnées et critiques". Un site internet dédié présente les parcours proposés.