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L'ensemble des organisations patronales et salariales du secteur de la sécurité privée actent la création d’un "fonds conventionnel" dédié "exclusivement" au financement de la formation continue des agents dans un accord entériné mardi 19 décembre 2017 via la signature de l'USP. "Toutes les entreprises, quel que soit leur effectif salarié" devront endosser une nouvelle contribution "d’un montant égal à 0,15 % du montant de la masse salariale brute de l’année en cours", indique le document, dont AEF s’est procuré une copie. "Tout sera pris en charge : la formation sur le temps de travail, le coût de la formation et les frais de trajet pour aller sur le lieu de la formation", se félicite Daniel Peltier, secrétaire général du SNEPS-CFTC. Cet accord "permet de finir l’année sur une note positive", ajoute-t-il.
"Le dispositif de mise à jour des compétences doit être impérativement reporté au 1er janvier 2019 !" Tel est l’appel lancé par l’USP (Union des entreprises de sécurité privée), dans un communiqué daté du jeudi 29 juin 2017. À compter du 1er janvier 2018, les agents de surveillance humaine devront suivre une formation de 31 heures pour obtenir le renouvellement de leur carte professionnelle. Or, selon l’USP, "plusieurs éléments, négligés par la puissance publique" dans l'élaboration de ce dispositif "rendent indispensable le report" de l'obligation. Pour l'USP, il convient "de tenir compte des contraintes économiques et opérationnelles des entreprises de sécurité privée". L’organisation demande que l’excédent de la taxe Cnaps soit affecté "en totalité" au financement du maintien en compétence.
Conditions d’éligibilité, montants et durées d’indemnisation. Modes de financement. Ou encore répartition entre les services de l’accompagnement des demandeurs d’emploi d’une part et du versement de leurs allocations de l’autre. Parues en juin et juillet 2022, trois études réalisées par l’Unédic permettent de prendre connaissance des modalités de fonctionnement de l’assurance chômage au Danemark, en Finlande et en Suède. Signe particulier : partout, une part au moins de la couverture est soumise au volontariat des salariés et indépendants, libres d’adhérer ou non à une caisse d’assurance.