En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
"Tant que l’autorité publique, le Cnaps en particulier, n’aura pas pris conscience qu’il faut également contrôler les marchés publics, le marché de la surveillance humaine ne progressera pas." C’est ce qu’affirme le P-DG de Securitas France, Michel Mathieu, lors d’un colloque intitulé "La Sécurité privée au cœur de la cité", organisé par l’USP technologies à Paris, mercredi 6 décembre 2017. "Vous ne trouvez quasiment plus d’entreprises du top 20 de la sécurité privée qui répondent à ce type de marchés. Pourquoi ? Parce que le prix est bas, voire extrêmement bas, voire en dessous de tous les seuils de rentabilité", poursuit Michel Mathieu, qui rappelle que le secteur public représente une partie importante du marché de la sécurité privée. Éric Davoine, responsable de la sécurité à la Walt Disney Company, pointe pour sa part la responsabilité des donneurs d'ordres.
"Le Snes et l'USP ont raison de lancer un cri d’alarme", affirme le Cercle de la sécurité privée dans un document publié vendredi 1er décembre 2017. L’organisation, qui regroupe six grandes entreprises du secteur de la surveillance humaine
L’entreprise de sécurité privée Securitas France indique, jeudi 19 novembre 2015, avoir activé sa cellule de crise après les attentats de Paris pour "coordonner tous ses moyens opérationnels afin de répondre au mieux aux urgences de la situation". "Ces urgences sont de plusieurs ordres : mobilisation et réactivité des équipes, mise en place des ressources pour répondre aux demandes de nos clients, et mise en sécurité de nos personnels", précise l’entreprise, qui a activé pour la troisième fois de l’année sa cellule de crise après les attentats de janvier 2015 et l’attaque du site industriel de Saint-Quentin-Fallavier (Isère) en juin dernier (lire sur AEF).