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Le premier "colloque européen" de l’UGEI, qui s’est tenu le 30 novembre 2017 à Paris en présence de Frédérique Vidal (lire sur AEF info), a débouché sur la signature d’une "déclaration pour la création d’un réseau européen d’enseignement supérieur privé" entre l’UGEI et ses équivalents allemand (Verband der privaten hochschulen), portugais (Associaçao portuguesa do ensino superjor privado) et espagnol (Asociacion espanola de escuelas de negocios). "Cette charte est là pour dire au gouvernement que la feuille de route de Bologne est aussi la nôtre, et pour faire émerger la réalité d’un enseignement supérieur privé européen, respecté et considéré. Nous souhaitons qu’il ait pleinement les moyens de jouer son rôle, alors qu’il est aujourd’hui pénalisé", déclare Jean-Michel Nicolle, président de l’UGEI. La Fesic et l’Udesca, pas encore signataires de la charte, sont appelées à la rejoindre.
L'AUEIC, la Fesic et la Fnogec annoncent, le 21 décembre 2015, la création d'une "confédération de l'enseignement privé à but non lucratif", la CEPNL, décrite comme une "organisation professionnelle représentante des employeurs associatifs dans le secteur de l’enseignement privé de la maternelle au supérieur". Cette nouvelle confédération vise ainsi à représenter plus de 100 000 salariés de plus de 5 500 associations support d’établissements scolaires, 25 écoles d’ingénieurs et de management et 5 universités et instituts catholiques. "Ce nouvel acteur aura un rôle politique central pour défendre et valoriser la place de l'enseignement privé à but non lucratif au cœur des politiques publiques" d'éducation. Les salariés que la CEPNL souhaite représenter sont soumis à neuf conventions collectives différentes, et à "une dizaine d’accords thématiques".