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Aviva France annonce le "renforcement de son engagement en matière de diversité et d'égalité professionnelle avec la mise en place, à compter du 19 novembre 2017, d’un congé de parentalité unique de dix semaines pour le parent conjoint", selon un communiqué du 24 novembre 2017. Cette mesure est inscrite dans un accord "relatif au développement de la parentalité", signé le 13 novembre avec l’ensemble des organisations syndicales représentatives de l’entreprise, soit la CFDT, la CFE-CGC et l'Unsa. Elle "s’inscrit dans le cadre d’une démarche globale du groupe Aviva plc qui devient ainsi la première entreprise au monde à proposer un congé de parentalité aussi long sur une telle zone géographique puisque cinq de ses filiales sont concernées : la France, le Royaume-Uni, le Canada, Singapour et l’Irlande", précise le communiqué.
"Organiser un 'Grenelle des temps' pour co-construire des actions permettant d’aider les Françaises et les Français à gagner du temps au quotidien", "prendre en compte les enjeux de conciliation vie professionnelle-vie personnelle dans l’élaboration des politiques publiques", "faire de l’État un employeur exemplaire en matière de soutien à l’équilibre des temps de vie". Ce sont les trois propositions en faveur d’une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle formulées par l’OPE (Observatoire de l’équilibre des temps et de la parentalité en entreprise), dans un manifeste aux candidats à l’élection présidentielle, dévoilé vendredi 6 janvier 2017. L’OPE espère ainsi que les candidats s’engagent "pour une approche nouvelle du travail et de l’équilibre des temps de vie".
Les négociations sur la prime de partage des profits (1) se poursuivent dans les entreprises, quelques jours avant l'échéance du 31 octobre 2011 prévue par la loi de financement rectificative pour la sécurité sociale pour 2011. L'obligation de négocier sur cette prime concerne les sociétés commerciales de 50 salariés ou plus, qui ont versé en 2011 « des dividendes dont le montant par part sociale ou par action est en augmentation par rapport à la moyenne des dividendes par part sociale ou par action versés au titre des deux exercices précédents ». La sanction prévue à l'article 1 de la loi, en cas de non respect de cette obligation, est identique à celle prévue pour les entreprises qui n'organiseraient pas leurs NAO (négociations annuelles obligatoires).