En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
En 2018, une partie des organismes adhérents de l'Urof Auvergne-Rhône-Alpes "envisage de supprimer des emplois permanents", et certains "se questionnent même sur leur pérennité", rapporte Jeanine Chapot, présidente de l’Urof, lors d’un entretien accordé à l’AEF. Les raisons sont multiples : l’absence probable, "au 1er janvier 2018", d’une "offre de formation régulière programmée" par le conseil régional, ou encore le recentrage des formations préqualifiantes sur les Écoles de la deuxième chance et les chantiers d’insertion, prévu par le nouveau SPRFP, que le conseil régional a adopté le 29 septembre 2017. Les organismes s’inquiètent également des effets de ces choix sur l’accompagnement des demandeurs d’emploi de longue durée : "Que va-t-on leur proposer désormais ?", se demande Jeanine Chapot. Enfin, la présidente de l’Urof livre sa vision quant à la "prescription libre" de formations.
Un syndicat non-signataire du protocole d’accord préélectoral mais affilié à une fédération ou à une union de syndicats qui a signé ce PAP, qu’elle soit ou non représentative, ne peut contester la validité de ce protocole. Dès lors, le syndicat ne peut demander l’annulation à ce titre des élections professionnelles dans l’entreprise. C’est ce que considère la Cour de cassation dans un arrêt publié du 22 mars 2023.