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Le SNTRS-CGT s’indigne du montant de la "prime de misère" des chercheurs des EPST (établissements publics à caractère scientifique et technologique), dans un communiqué diffusé le 13 octobre 2017. Considérant que les montants de cette prime traduisent le "mépris de l’État", il en demande la revalorisation pour "tous les chercheurs" de ces organismes. Non revalorisée depuis 2003, elle "représente, en moyenne, 2,5 % de la rémunération, soit aux environs de 900 € annuels pour un CRCN (chargé de recherche de classe normale), de 1 200 € pour un DR2, 1 300 € pour un DR1 et 700 € pour un DR de classe exceptionnelle". Le SNTRS dénonce également, le même jour, un "traitement inégalitaire des agents" du CNRS dans le cadre du nouveau régime indemnitaire Rifseep.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :