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"L’actionnariat salarié demeurant un pilier fort et stable de la politique de motivation, une entreprise sur trois propose une offre chaque année à ses salariés, avec un très bon cru en 2016", selon les résultats de la 8e enquête annuelle sur l’actionnariat salarié, réalisée de juin à septembre 2017, par la FAS et LLH Altedia, et publiée jeudi 12 octobre 2017. Autres enseignements de l’étude : "le pourcentage d’actionnaires salariés augmente sensiblement à l’international, démontrant le rôle fédérateur de ces opérations", "des progrès notables sont constatés en matière de gouvernance" et "les plans d’attribution gratuite d’actions à tous les salariés sont sensibles à la fiscalité".
Mardi 7 mars 2017, la Fédération Européenne de l’Actionnariat salarié (FEAS) publie un nouveau "Recensement Économique Annuel de l’Actionnariat Salarié"
L’image employeur est le premier élément sur lequel le déploiement d’un programme d’actionnariat salarié a un impact, selon 84 % des employeurs français des sociétés non cotées. Selon une étude du cabinet Deloitte publiée à la mi-décembre, c’est en effet un synonyme d’attractivité en termes d’embauche (72 %), mais également de motivation et d’implication des salariés (76 %). La moitié des employeurs considère que l’actionnariat salarié est également lié à l’idée d’équité, 40 % qu’il impacte les relations sociales, et un tiers environ (32 %) qu’il a un fort impact sur le turnover et la fidélisation des talents. 92 % des entreprises ont un retour positif sur la création de ce dispositif au sein de leur structure. Du côté des salariés, 47 % de ceux éligibles à un programme d’actionnariat y ont souscrit, avec 2 850 euros d’investissement unitaire en moyenne.