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"L’année 2016 est marquée par une augmentation de 16 % des signalements de particuliers via la plateforme en ligne de l’IGPN par rapport à l’année précédente", indique Marie-France Moneger-Guyomarc’h, mercredi 27 septembre 2017 à Paris. La directrice de l’IGPN s’exprimait lors de la présentation du rapport annuel de l’institution. "Cette évolution inhabituelle s’explique pour une part non négligeable par les manifestations contre la loi travail", précise-t-elle. "La majeure partie de ces signalements a trait à des violences et à des pratiques brutales, qui représentent 15 % des allégations. Viennent ensuite le comportement moqueur ou injurieux et le refus de prendre une plainte." Marie-France Moneger-Guyomarc’h présente également le bilan des enquêtes conduites par l’IGPN en 2016 et celui de l’usage des armes. Elle évoque en outre les chantiers de la direction pour l’année 2017.
"Les mesures mises en œuvre dans le cadre de l’état d’urgence doivent être contrôlées et strictement encadrées. Ces contrôles internes et externes ne constituent pas une rivalité mais bien une complémentarité" entre sécurité et respect des libertés individuelles. C’est ce qu’affirme Marie-France Monéger-Guyomarc’h, cheffe de l’Inspection générale de la police nationale, jeudi 14 septembre 2017. Elle s’exprimait lors de la troisième conférence du réseau IPCAN - un réseau d’institutions internationales qui œuvrent en matière de déontologie de la sécurité — organisée à Strasbourg par le Défenseur des droits sur le thème du respect des droits fondamentaux et des libertés dans le contexte du renforcement de la lutte contre le terrorisme. Elle estime également qu’en France, "les accusations contre les forces de l’ordre sont toujours trop nombreuses, mais quantitativement très faibles".
Fermeture du centre de Pontourny, restrictions budgétaires, violences policières contre des migrants… Dans un entretien au Journal du dimanche, publié dimanche 6 août 2017, le ministre de l’Intérieur revient notamment sur les allégations de violences policières contenues dans un rapport de Human Rights Watch, et affirme que "si certaines sont confirmées, je prendrai les décisions qui s’imposent". Interrogé sur la récente nomination d’Éric Morvan comme nouveau DGPN (lire sur AEF info), et sur d’éventuelles nouvelles nominations, Gérard Collomb réitère son souhait de "renforcer la mutualisation des moyens entre police et gendarmerie, à commencer par les unités de police scientifique". Le ministre donne également les derniers chiffres des djihadistes français de retour de zones de conflit, et rappelle que "sept tentatives d’attentat ont été déjouées depuis le début de l’année".
L’inspection générale de la police nationale a été saisie de 48 enquêtes à la suite de plaintes relatives à des faits de violences policières depuis le début du mouvement contre le projet de "loi travail" en mars 2016, annonce la directrice de ce service, Marie-France Moneger-Guyomarc’h. Elle présentait, lundi 6 juin 2016 à Paris, le bilan d’activité de ce service pour l’année 2015. Les enquêtes judiciaires en cours concernent principalement Paris, Rennes et Nantes, indique Marie-France Moneger-Guyomarc’h. L’IGPN a mené, en 2015, 916 enquêtes judiciaires à l’encontre de policiers, contre 1 035 l’année précédente (-11,5 %).
La police nationale "va plutôt mieux", estime la directrice de l’IGPN (inspection générale de la police nationale), jeudi 21 mai 2015. Lors de la présentation du rapport annuel d’activité de l’inspection pour l’année 2014, Marie-France Moneger-Guyomarc’h révèle que, de façon générale, il y a eu moins de policiers sanctionnés en 2014 qu’en 2013, mais que son service a mené plus d’enquêtes. Alors que plusieurs affaires ont entaché l’image de la police nationale en 2014 – le vol de 52 kg de cocaïne au quai des Orfèvres par exemple (lire sur AEF) — elle explique qu’il est impossible de "juger une institution sur un cas, une affaire qui a été lourdement médiatisée".
"Sur les quatre premiers mois d’exploitation, il y a eu 1 154 signalements sur la plateforme internet, dont douze ont été considérés comme suffisamment graves pour donner lieu à une enquête", indique la cheffe de l’Inspection générale de la police nationale, Marie-France Moneger-Guyomarc’h, lors de la présentation du bilan 2013, mardi 6 mai 2014. "Les citoyens qui vont sur la plateforme nous font part de faits qui ne sont pas gravissimes. Il s’agit souvent d’incompréhensions ou d’agacements, parfois justifiés", précise-t-elle (lire sur AEF). Elle détaille en outre les chiffres des contrôles de l’inspection sur l’usage des armes et les missions de l’IGPN depuis la réforme de septembre 2013 (lire sur AEF).