En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes, réuni en commission permanente, a examiné vendredi 29 septembre 2017, une délibération concernant le nouveau SPRF. Le texte prévoit d’ouvrir l’offre de formation notamment aux "salariés fragilisés", et de simplifier les dispositifs pour les réduire à trois. Les actions préqualifiantes s’appuieront notamment sur les E2C, tandis que l’accès aux Cared est ouvert aux employeurs publics. Le groupe socialiste conteste le choix de l’exécutif de soumettre cette délibération à la commission permanente : "Le SPRF doit être examiné en [assemblée] plénière, une politique régalienne ne peut être votée en commission permanente", fait valoir Jean-François Debat, président du groupe SDEA au conseil régional, lors d’une conférence de presse, le 21 septembre 2017. Plusieurs groupes de gauche comptent déposer un recours au Tribunal administratif à ce sujet.
Un syndicat non-signataire du protocole d’accord préélectoral mais affilié à une fédération ou à une union de syndicats qui a signé ce PAP, qu’elle soit ou non représentative, ne peut contester la validité de ce protocole. Dès lors, le syndicat ne peut demander l’annulation à ce titre des élections professionnelles dans l’entreprise. C’est ce que considère la Cour de cassation dans un arrêt publié du 22 mars 2023.