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L’Igas a mis en ligne ce 20 septembre 2017 un nouveau rapport d’évaluation sur l’impact des réseaux de soins. Ciblant les six principales plateformes de santé, cette étude relève un effet "globalement favorable" en matière d’accès aux soins, grâce à leur action sur les prix et le reste à charge. Elle souligne cependant le manque de données pour évaluer leur impact en termes de qualité des soins au sein de leurs réseaux optiques, dentaires ou audio. L’Igas souligne également le caractère "déséquilibré" de la relation entre ces réseaux et les professionnels de santé, qui seraient une majorité à "subir" leurs règles. L’étude, qui souligne l’absence de régulation de ces plateformes par les autorités sanitaires, conclut au final à la nécessité d’un approfondissement de la connaissance de ces réseaux par les pouvoirs publics.
Le magazine Espace social européen organisait ce 1er juin 2017 un colloque sur l’actualité des complémentaires santé. L’une de ses tables rondes s’est concentrée sur le problème du reste à charge concernant les dépenses d’optique, de dentaire et d’audioprothèse. Alors que le nouveau président Emmanuel Macron souhaite aboutir à un objectif "zéro reste à charge" d’ici 2022, opérateurs et spécialistes ont analysé les possibles conséquences de cette promesse, en s’interrogeant notamment sur le périmètre le plus pertinent pour une solvabilisation de ces dépenses.