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"En 2016, la France est toujours championne d’Europe de l’actionnariat salarié 'démocratique'" : 76 % des entreprises françaises qui disposent d’un plan d’actionnariat salarié ont des plans ouverts à l’ensemble de leurs salariés, "contre une moyenne européenne de 47 % ; 36 % des salariés sont actionnaires contre 22 % en Europe (taux de démocratisation) ; les salariés (non dirigeants) détiennent 4,0 % du capital contre 1,6 % en Europe", selon les résultats de la 5e édition de l’étude sur l’actionnariat salarié des entreprises du SBF 120 du cabinet Eres. L’objectif de cette étude est de "comparer la situation de l’actionnariat salarié en France par rapport à l’Europe et analyser les opérations réalisées depuis 2006 dans les entreprises du SBF 120, notamment en termes de performance pour les salariés".
Mardi 7 mars 2017, la Fédération Européenne de l’Actionnariat salarié (FEAS) publie un nouveau "Recensement Économique Annuel de l’Actionnariat Salarié"
L’image employeur est le premier élément sur lequel le déploiement d’un programme d’actionnariat salarié a un impact, selon 84 % des employeurs français des sociétés non cotées. Selon une étude du cabinet Deloitte publiée à la mi-décembre, c’est en effet un synonyme d’attractivité en termes d’embauche (72 %), mais également de motivation et d’implication des salariés (76 %). La moitié des employeurs considère que l’actionnariat salarié est également lié à l’idée d’équité, 40 % qu’il impacte les relations sociales, et un tiers environ (32 %) qu’il a un fort impact sur le turnover et la fidélisation des talents. 92 % des entreprises ont un retour positif sur la création de ce dispositif au sein de leur structure. Du côté des salariés, 47 % de ceux éligibles à un programme d’actionnariat y ont souscrit, avec 2 850 euros d’investissement unitaire en moyenne.
Le cabinet Eres, spécialiste en actionnariat salarié, retraite et épargne salariale, publie, mardi 13 septembre 2016, les résultats de l’édition 2016 de son étude sur l’actionnariat salarié des entreprises du SBF120. Objectif : comparer la situation de l’actionnariat salarié en France par rapport à l’Europe et analyser les opérations réalisées depuis 2006 dans les entreprises du SBF120, notamment en termes de performance pour les salariés. Il en ressort notamment que "les salariés ayant souscrit à une opération d’actionnariat salarié, réalisée par les entreprises du SBF120 entre 2006 et 2010, ont été gagnants dans 72 % des cas avec le dividende et la décote, alors qu’un actionnaire normal aurait été gagnant dans 60 % des cas seulement".