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Une mission IGF-IGAENR, dans un rapport de 2014 (1), expliquait que le CNRS avait engagé un "important" projet de dématérialisation des achats et des factures. "Entre 2014 et 2017, les choses ont beaucoup évolué", constate Olivier Bérard, directeur délégué aux achats et à l’innovation du CNRS, interrogé par AEF. Les événements marquants, concernant l’ensemble du processus achat au CNRS sont : la mise en place et le déploiement d’AEL (portail d’achat en ligne) depuis avril 2014 ; et le développement du service central de traitement de la dépense (SCTD). "Ce service est désormais déployé dans l’ensemble de nos délégations régionales."
Dans leur rapport "Implantation territoriale des organismes de recherche et perspectives de mutualisation entre organismes et universités", l'IGAENR et l’IGF pointent les bénéfices substantiels que devrait engendrer à terme une politique des achats, structurée et mutualisée. Cité par les inspections comme un modèle de développement à suivre, le CNRS aborde aujourd’hui une nouvelle étape de la dématérialisation de sa chaîne de dépenses avec le lancement depuis avril d’une plate-forme d’achats en ligne permettant un accès direct aux catalogues des fournisseurs titulaires de marchés de l’établissement. Aujourd’hui en phase pilote dans une quinzaine de laboratoires, la plate-forme devrait se généraliser d’ici deux à trois ans et pourrait représenter près de 10 % des achats annuels de l’établissement (environ 60 M€).