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"Courtisés, nous le sommes. Tout le monde nous aime beaucoup ! La question, c’est qu’est-ce qu’on aime dans AgroParisTech : sa taille ? Sa singularité ? Sa posture scientifique ?", s’interroge Gilles Trystram, directeur général de la grande école, qui n’a pas encore décidé si elle participerait au projet d’Université Paris-Saclay aux côtés de Paris-Sud, de l’ENS Paris-Saclay et de CentraleSupélec (lire sur AEF info), ou si elle se rallierait au projet encore non officiel de pôle universitaire en gestation autour de Polytechnique. "De toute manière, il faudra que les deux pôles coopèrent. Ce que l’on fait avec les uns et avec les autres doit perdurer, car l’enjeu, c’est de bien former, de faire de la recherche de qualité et de répondre aux besoins des entreprises", dit-il, réservant sa réponse "pour l’automne". Il revient également sur le vote très disputé de son CA sur le déménagement.
Le conseil d’administration d’AgroParisTech, appelé à s’exprimer le 23 mars 2015 sur le déménagement de l’école sur le plateau de Saclay à l’horizon 2019, a voté en faveur du projet par 22 voix pour, 20 voix contre et 2 abstentions (conseil régional et Ville de Paris), selon les informations d’AEF. Avant ce vote, deux comités techniques avaient voté à l’unanimité contre le déménagement, les 13 et 23 mars (lire sur AEF). La question devait dans un premier temps être mise à l’ordre du jour du CA d’AgroParisTech dès l’automne 2014, mais elle avait été repoussée. Dans une interview à AEF en juin 2014, Gilles Trystram, directeur général de l’école, faisait part de ses doutes quant à l’issue du vote en CA : "Il y a, parmi les 1 500 personnes travaillant à l’Inra et à AgroParisTech, un certain nombre d’entre elles qui ne souhaitent pas quitter Paris", soulignait-il ainsi (lire sur AEF).