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L’université catholique de l’Ouest (Angers) a abandonné la sélection en licence en 2006, lors de son entrée dans APB. Cependant, à l’UCO, le taux de réussite en licence en trois ans s’élève à 67 %, contre 27 % dans les universités publiques. Laurent Péridy, vice-recteur de l’UCO, avance une explication : "les avis que nous donnons sur APB semblent bien suivis ; les familles, sachant que la formation est payante, sont sûrement plus enclines à regarder cela de près". Pour rendre ces avis, l’UCO se base d’abord sur la filière choisie au bac, puis sur les résultats obtenus dans les différentes disciplines. "Le parcours du jeune, son implication dans une association, une pratique sportive, sont également des éléments qui peuvent donner des indications sur sa motivation, et son implication future", estime Laurent Péridy.
Alors que la concertation sur l’accès à l’enseignement supérieur et le "contrat de réussite étudiante" est lancée ce lundi 17 juillet 2017 en vue de supprimer le recours au tirage au sort à la rentrée 2018, AEF présente les questions que pose l’ouverture de ce chantier : Que sont les prérequis ? Doivent-ils être indicatifs ou coercitifs ? Qui doit les définir ? Comment seront-ils vérifiés ? Quels impacts de cette réforme sur le post-bac et sur l’organisation du cycle licence ? etc. Concernant les moyens, Frédérique Vidal assure qu’elle "fait du chantier de l’entrée en premier cycle sa priorité absolue" (lire sur AEF info). À l’heure où se discutent les orientations budgétaires pour 2018, c’est un sujet que ne manqueront pas de soulever les organisations syndicales. Quant au calendrier, il est assez serré puisque la saisie des vœux sur APB démarre en janvier.