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Alain Fuchs, président du CNRS dont le mandat se termine en février 2018 (lire sur AEF), devrait être candidat à la présidence de PSL, selon des informations recueillies par AEF. L'appel à candidatures se clôt le 24 août (lire sur AEF info). Marc Mézard, directeur de l'ENS, assure la présidence par intérim de PSL depuis mai 2017 (lire sur AEF info), après que Thierry Coulhon a été nommé conseiller à l’Élysée, en charge de l’ESR (lire sur AEF info). L'appel à candidatures pour la présidence de PSL précise que les candidats doivent avoir, entre autres, une "très bonne connaissance du contexte de PSL, de l'enseignement supérieur parisien, du processus idex, permettant d'envisager de prendre en main dans des délais brefs la présidence de PSL dans toutes ses dimensions, y compris pour l'élaboration de la candidature à la pérennisation de l'idex" (lire sur AEF info).
La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Geneviève Fioraso devrait proposer qu'Alain Fuchs soit renouvelé à la présidence du CNRS, selon des informations recueillies par AEF. Son mandat s'achève le 20 janvier 2014 et il exercera ensuite les fonctions de président par intérim (AEF n°470965). Sa nomination effective devra être entérinée par le conseil des ministres, probablement à la mi-février, après qu'il aura été auditionné par l'Assemblée nationale et le Sénat. Depuis son arrivée à la tête de l'organisme, en janvier 2010, Alain Fuchs s'est particulièrement attaché à renouveler et à renforcer la coopération entre le CNRS et les universités. Son mandat a aussi été marqué par la participation de l'organisme aux assises de l'enseignement supérieur et de la recherche, par la préparation de la stratégie nationale de recherche et par la première évaluation du CNRS conduite par l'Aeres.
Un amendement au projet de loi réformant les retraites de Pierre Dharréville (gauche démocrate et républicaine) visant à supprimer la hausse de CSG sur l’ensemble des pensions a été adopté, contre l’avis de la rapporteure du texte, mercredi 1er février 2023 par la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale. Pour mémoire, en 2018, le gouvernement d’Édouard Philippe décide de relever de 1,7 point (passant de 6,6 % à 8,3 %) le taux de CSG pour les retraités percevant une pension supérieure à environ 1 200 euros par mois. Devant la colère suscitée par cette mesure, le gouvernement va rétablir un taux de 6,6 % pour les retraités gagnant entre 1 200 et 2 000 euros par mois et maintenir les 8,3 % pour ceux percevant plus. C’est ce dernier taux que supprime l’amendement, même si cette mesure a peu de chance d’être retenue en séance publique, à partir du 6 février 2023.