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Le cabinet Mozart Consulting et le GPS Apicil rendent public, mardi 11 juillet 2017, l’Indice de bien-être au travail (Ibet) 2017, basé sur des statistiques de 2015. Cet indice, qui mesure le niveau d’engagement des 18,3 millions de salariés du secteur privé, stagne à 0,75 cette année, "soit un niveau d’engagement […] qualifié de contraint". La mauvaise organisation du travail apparaît comme "la première cause de dégradation de la compétitivité des entreprises […], à relativiser avec la baisse des coûts salariaux et des charges sociales en débat actuellement avec la loi travail".
Le cabinet Mozart Consulting et le groupe de protection sociale Apicil rendent publique, le 11 mai 2016, la sixième édition de leur "indice de bien-être au travail" (Ibet), indice socio-économique reposant sur des statistiques de 2014 : il s’élève à 0,75, en baisse de trois points par rapport à l'année précédente. Pour mémoire, sa valeur est comprise entre 0 et 1. "Pour les 18,3 millions de salariés du privé, le désengagement socio-organisationnel [c’est-à-dire le mal-être au travail] représente 12 600 euros par salarié et par an", indique l’étude. Cette année, l'Ibet des entreprises est analysé non seulement par secteur économique, mais aussi à l'aune de la taille des organisations. Il en ressort que "l’engagement est plus difficile à installer dans les petites entreprises où le recrutement, l’intégration et la fidélisation des collaborateurs deviennent un processus RH stratégique".
Le cabinet Mozart Consulting et le groupe Apicil rendent public, le 26 mai 2015 et "pour la cinquième année consécutive", l’Ibet (Indice de bien-être au travail) 2015, indice socio-économique reposant sur des statistiques de 2013 : il s’élève à 0,78. Pour mémoire, sa valeur est comprise entre 0 et 1. "En 2013 pour les 18,3 millions de salariés du privé, le désengagement socio-organisationnel", c’est-à-dire le mal-être en entreprise, "représente 11 000 euros par salarié et par an, soit une perte de compétitivité sociale nationale de 200 milliards d’euros en coûts directs et indirects", indique l’étude.
« En 2011, le mal-être au travail représente 13 500 euros par an et par salarié en coûts directs et indirects soit une perte de valeur ajoutée pour l'ensemble du secteur privé de 250 milliards d'euros », évaluent Apicil et le cabinet Mozart Consulting, dans le baromètre de bien-être au travail, Ibet (indice de bien-être au travail) 2013, présenté début juin 2013 (1). En outre, cette désorganisation de la qualité du travail correspond à « une dégradation de la performance socio-économique des entreprises françaises de 27 % ». Le baromètre démontre également que trois secteurs d'activité se distinguent par leurs bonnes pratiques en termes de niveau d'engagement : l'énergie/environnement, les télécommunications et la banque/assurance.