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"Un Brexit dur qui nous couperait du PCRD causerait des dommages à l’Espace européen de la recherche aussi bien qu’au Royaume-Uni", déclare Steven Smith, qui dirige le groupe de travail sur les négociations pour le Brexit au sein de Universities UK. Il répond, ainsi qu’une délégation des universités britanniques emmenée par Janet Beer, présidente élue de UUK, aux questions d’AEF le 19 juin 2017 lors d’une visite à Paris pour signer, avec la CPU, une déclaration conjointe posant "un premier jalon sur la mutualisation, la coopération, les intérêts et objectifs communs" dans le contexte du Brexit. Les universités britanniques déclarent attendre de leurs homologues françaises une aide pour que "la question de la recherche ne soit pas oubliée" pendant les négociations, car "les intérêts mutuels en matière de collaboration dans la recherche ne sont pas bien compris au niveau politique".