En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Candidate malheureuse à la direction du Pnud (lire sur AEF info), l’ancienne ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer et ancienne présidente de la COP 21 Ségolène Royal a affirmé mardi 13 juin 2017 au micro de RMC-BFM TV vouloir "continuer le combat climatique" et se mettre "au service" du gouvernement d’Édouard Philippe.
Deux heures après l’annonce de Donald Trump de retirer son pays de l’accord de Paris le 1er juin, Emmanuel Macron, président de la République, invitait les chercheurs américains à venir travailler en France sur le climat. Une semaine plus tard, l’Élysée met en ligne le site - entièrement en anglais - "make our planet great again" afin d’informer les chercheurs, entrepreneurs, membres d’ONG ou étudiants qui voudraient se rendre en France et y travailler sur le changement climatique. "Ce site s’inscrit dans le cadre de la mobilisation très forte du président de la République pour assurer l’application de l’accord de Paris", explique l’Élysée. Développé "en quatre jours" pour un coût de 20 000 à 22 000 euros, il ne permet pour le moment pas au public visé de postuler sur un projet précis. L’Élysée ne s’est pour l’heure fixé aucun objectif en termes de nombre de "candidats" à accueillir.
En rejetant l’accord de Paris, "les États-Unis rejettent le futur" déclare l’ancien président du pays Barack Obama, jeudi 1er juin 2017. Le secrétariat exécutif de la Ccnucc "regrette" ce retrait américain de l’accord de Paris mais annonce "se tenir prêt à engager le dialogue avec le gouvernement américain pour renégocier les modalités de la participation des États-Unis à l’accord". De son côté, le président français, Emmanuel Macron affirme qu’aucun accord "moins ambitieux" ne sera renégocié. Nombreuses sont également les ONG et associations américaines à déplorer une décision qui nie la réalité scientifique et représente une "erreur historique".