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"Au lendemain des élections municipales, le gouvernement a annoncé une baisse inouïe des dotations : moins 17 millions d’euros en 2017 pour Grenoble par rapport à 2013 !" Éric Piolle, maire (EELV) de la ville iséroise, justifiait ainsi la nécessité du "Plan de sauvegarde des services publics", dévoilé le 9 juin 2016. Ce plan devait "écarter l’épée de Damoclès de la mise sous tutelle de la Ville par l’État". "Il ne s’agit pas de faire moins, il s’agit de faire mieux, et surtout différemment", ajoutait encore l’élu. Sur la période 2016-2018, puis élargie à 2019, la Ville visait environ 13 millions d’euros d’économies, dont la moitié environ sur les dépenses de personnel. Un an après, où en est Grenoble dans la mise en œuvre de ce plan ? AEF a posé la question à des syndicats et un élu.
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La masse salariale du département du Nord devrait atteindre 375,7 M€ en 2017. "Nous avons réalisé 5,7 M€ d’économies en un an : ça n’était jamais arrivé", indique Jean-René Lecerf, le président (divers droite) de la collectivité territoriale, lors d’une présentation à la presse du budget primitif, vendredi 3 février 2017. Principale explication : la suppression de 400 postes (sur 8 000 ETP), en raison du non-remplacement de départs en retraite et du non-renouvellement de CDD. "L’objectif est maintenant de stabiliser l’effectif car nous n’aurons pas 400 départs tous les ans", reprend Jean-René Lecerf. Le département a aussi perdu une partie de ses agents dans le cadre du transfert de compétences à la métropole européenne de Lille et au conseil régional. Par ailleurs, le passage à un temps de travail effectif de 35 heures (au lieu de 33 heures) représente un gain équivalent à 395 postes.