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La mise en œuvre du comité de suivi individuel du doctorant, prévu par l’arrêté du 27 mai 2016, s’avère compliquée dans les établissements, à en croire les vice-présidents des six universités SHS qui se sont réunis le 3 mai 2017 à Bordeaux pour échanger sur la réforme du doctorat et sur la question de l’open access. Les responsables de Bordeaux Montaigne, Lyon-II Lumières, Lyon-III Jean-Moulin, Montpellier-III Paul-Valéry, Rennes-II et Toulouse Jean-Jaurès jugent "peu claires" les missions de ce comité. Pour les uns, comme Rennes-II, cette instance a essentiellement un rôle de veille sur le plan déontologique, afin d’éviter tout problème de harcèlement ; pour les autres, le comité doit aussi valider la progression du travail du doctorant. La même diversité d’approches vaut pour l’offre de formation aux doctorants : tantôt à la carte, tantôt sous forme de parcours avec crédits à valider.